Journées de l’artisanat togolais : l’acte 4 démarre le 1er juillet

L’Union des chambres régionales de métiers (UCRM) organise du 1er au 12 juillet prochain, la 4e édition des Journées de l’artisanat togolais (JAT). Le ton officiel a été donné le 28 juin par Kayi Mivedor, ministre du Commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, autour du thème : « L’artisanat, moteur de développement économique et social ». C’était au cours d’une cérémonie de lancement tenue vendredi dans la salle de conférence dudit ministère à Lomé.

Plusieurs activités sont inscrites au menu de la 4e édition des Journées de l’artisanat togolais. Parmi ces activités qui s’étendent aussi bien au niveau préfectoral, régional que national, l’on peut citer l’organisation des mini foires, des opérations de reboisement, des activités ludiques, des émissions radio télévisées ainsi que plein d’autres activités.

Pour le président de l’Union des chambres régionales de métiers, Mohamed Issah, « la célébration de la 4e édition des Journées de l’artisanat togolais reste une tribune de renforcement de la cohésion sociale ».

Ce secteur qui contribue à plus de 18% au Produit intérieur brut (PIB), constitue selon le président de l’UCRM, « un véritable moteur de croissance de l’économie nationale ».

Les JAT, à en croire le ministre Kayi Mivedor, « est une opportunité de réfléchir une fois encore ensemble, sur les défis et enjeux liés au secteur de l’artisanat et de célébrer davantage le rôle que joue ce secteur dans le rayonnement socioéconomique de notre pays ».

C’est ainsi qu’elle a invité tous les artisans à une réflexion collective sur les défis auxquels le secteur reste encore confronté.

Notons que, outre les Journées de l’artisanat togolais, le gouvernement a également mis au profit du secteur, la création du Marché international de l’artisanat togolais (MIATO).

Il s’agit à travers cet événement d’envergure internationale, de faciliter l’écoulement des produits artisanaux et créer des opportunités de connexion nécessaire à la croissance de la performance des artisans.

Michel AKOETE

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