Conseiller politique du chef de l’État, Pascal Bodjona est descendu dans l’arène de la campagne électorale dès les premières heures, et puise la force dans toutes ses veines pour rallier davantage les populations à l’Union pour la République.
L’homme de Koumea, dont les épreuves les plus rudes n’ont jamais flétri sa loyauté et sa fidélité envers son frère et ami, le chef de l’État Faure Gnassingbé, ne s’accorde aucun répit en cette période cruciale censée tracer les sillons d’un autre avenir politique à la République Togolaise bien dressée pour basculer dans un régime parlementaire.
Mercredi 24 avril, Pascal Bodjona, “Bodj” pour les intimes, atterrit à Kpélé-Adéta (150km de Lomé) au bord du jet de toutes les convictions inébranlables, pour animer un meeting aux allures d’une séance de prosélytisme politique.
Le discours est éclairé, parsemé de vers et de prose pour fonder la foi des électeurs en un UNIR présenté comme le parti-clé du développement assuré du Togo, et son fondateur, Faure Gnassingbé, comme l’homme providentiel qui détient entre ses mains les solutions idéales de paix, de sécurité et de stabilité nationale.
“Kpélé, c’est le Togo en miniature, une preuve de nation globale, peu importe sa région natale. C’est bien ce que veut le président Faure Gnassingbé”, a déclaré mot à mot Bodj, qui recommande à tout Kpelé, de voter tel un seul homme pour le parti UNIR, afin de donner à Faure Gnassingbé les moyens de poursuivre sa politique de développement.
L’éloquence en roue libre, les mots coulant à flot pour forger les phrases qui réchauffent les fibres militantistes, le conseiller politique du chef de l’État a rempli avec brio son cahier de charges de ce jour, et pouvait repartir avec l’assurance ferme que le 29 avril, Chantal Tségan, présidente de l’Assemblée nationale, tête de liste dans cette circonscription pour les législatives, s’en sortira haut les mains. Sans bavure. Pour la grandeur du grand parti Union pour la République.
La préfecture de Kpélé compte deux sièges.