Alors que le frisson de compétition s’empare à nouveau des acteurs, le championnat D1 Lonato se prépare à démarrer sa phase retour. Les crampons crissent, les techniques s’affûtent, et les équipes peaufinent leurs stratégies. La scène est prête pour un second acte qui s’annonce palpitant, où chaque passe, chaque dribble et chaque décision pourraient sceller le destin des clubs.
Après une première partie de saison riche en rebondissements, les leaders tenteront de conserver leur avantage, tandis que les poursuivants n’ont qu’une obsession : les rattraper. Les équipes, fortes des enseignements tirés des premières journées, reviennent avec des ambitions renouvelées et des effectifs optimisés. Les rivalités, déjà bien marquées, promettent de s’intensifier, tandis que les outsiders, prêts à tout, pourraient bien perturber l’ordre établi.
Mais au-delà des performances techniques et des tactiques, c’est aussi une question de mental. La pression monte, les enjeux se corsent, et seule une poignée d’artistes saura garder la tête froide pour briller sous les projecteurs. Les fans, eux, retiennent leur souffle, impatients de retrouver les émotions fortes que seul le football peut offrir.
Ce spectacle, cette passion, cette compétition ne seraient pas possibles sans le dévouement et le génie de management de la Fédération togolaise de football (FTF) et de son président, Guy Akpovy. Malgré les contraintes multiples et les défis inédits, la FTF a su maintenir un niveau d’excellence dans l’organisation des championnats. Grâce à une vision claire et une constante détermination, le patron du football togolais, membre du Comité exécutif de la CAF, a transformé la Fédération en un modèle de gestion, faisant preuve d’un leadership inspirant et d’une capacité à colmater les brèches déstabilisatrices.
Sous sa houlette, les championnats se sont enchaînés avec une régularité impressionnante, offrant aux férus du football des moments de passions renouvelées.
Son engagement pour le développement du football togolais, son soutien aux clubs et aux joueurs, ainsi que son aptitude à fédérer tous les acteurs du secteur ont permis à la discipline de nourrir sans discontinuer les passions, nonobstant des résultats ternissants des Éperviers.
Alors que cette phase retour s’ouvre, tirons des coups de salve pour honorer la FTF et son président, dont le travail acharné, le dévouement et la passion ont créé au cuir rond les conditions favorables et l’environnement de travail requis pour continuer à rouler saison après saison depuis 2016.
La scène est prête, et sur le pré, D3 rejoindra D1 et D2, et tous les acteurs, à coups de cravache, essaieront de propulser les chevaux vers les sommets.
Que le spectacle (re)commence !
Yves Galley