La promesse de Vladimir Poutine d’observer une « trêve » de 36 heures à l’occasion du Noël orthodoxe, le 7 janvier, n’a pas été du tout observée. Dans les faits, combats et bombardements se sont poursuivis.
Vendredi et samedi, l’armée russe a continué par bombarder l’Ukraine, qui ne s’est toujours pas abstenue de riposter.
Dès la proposition de Vladimir Poutine, le jeudi 5 janvier, les dirigeants de Kiev ont qualifié l’initiative de piège cynique et de manœuvre dilatoire. Côté ukrainien, il n’était donc pas question de trêve et Kiev ne s’est jamais engagée à tenir un cessez-le-feu.
Dès l’annonce de trêve par Poutine, l’Ukraine a immédiatement qualifié la proposition de “piège cynique” ou de “manœuvre dilatoire”.